Publié : Mercredi 18 Août 2010 12:22
Un post pour remercier et féliciter Arnaud/Christophilius, non pas pour ses performances en MTT (qui sont remarquables), mais pour avoir l'honnêteté intellectuelle d'afficher ses résultats nets mensuels.
On souhaite tous qu'il parvienne à atteindre son objectif mais il nous donne une indication claire avec ses gains depuis avril de la difficulté d'être "largement" gagnant au poker et encore plus sur le long terme.
Beaucoup de bonnes remarque d'ailleurs dans ce post pour aider Franck à cheminer:
- La situation personnelle familiale (avec la nécessité de rentrées régulières qu'elle implique souvent quand on a femme, enfants et loyer)
- la situation professionnelle (est-on bien ou non dans son job, nous fournit-il une garantie de revenus suffisamment appréciable comparativement au plaisir/déplaisir qu'il génère),
- le soutien de son/sa conjoint(e) si l'on est en couple (impensable de se lancer sans que ce soit une décision "appuyée" par Madame à moins de ne guère tenir à son couple)
puis si ces conditions sont réunies:
- le niveau général de son poker
- la bankroll nécessaire pour rendre le projet viable
- sa capacité à s'orienter vers un type de jeu où l'on soit performant et aussi capable de s'y astreindre de longues heures quotidiennes (je trouve intéressant qu'Arnaud précise qu'il est bon en cash mais qu'il joue en MTT par goût; je suis admiratif de Richard/Pragmos à la fois pour ses résultats mais aussi et surtout pour sa rigueur sur le long terme)
- sa capacité à jouer son meilleur jeu avec la pression du résultat, non pas les premiers mois où on est naturellement "préparé" à affronter quelques échecs, mais au fil des mois quand on ne parvient pas malgré tous les efforts consentis à atteindre un niveau de gains suffisant (ce qui correspond pour moi à : se donner une date butoir pour évaluer la viabilité du projet et l'abandonner à temps si ça ne fonctionne pas + une limite de perte financière également au delà de laquelle on n'insistera pas).
Personnellement (même si mon niveau ne me l'a jamais laissé envisager ), même si mon boulot ne m'avait pas apporté de satisfactions particulières, j'aurais été incapable de commencer le mois sans rentrées d'argent garanties. Comment jouer dans ces conditions ? On est sûrement nombreux dans ce cas-là, notamment tous les pères de famille.
Bonne chance à tous ceux qui se lancent ces derniers mois.
Soyez prudents.
N'oubliez pas de venir jouer avec les potes de temps en temps .
Le poker, personnellement, m'a apporté beaucoup de satisfactions à travers les belles rencontres que j'ai pu y faire. Il doit AUSSI rester un jeu, lors de parties conviviales (Puis nous, on est content d'affronter des futures stars).
On souhaite tous qu'il parvienne à atteindre son objectif mais il nous donne une indication claire avec ses gains depuis avril de la difficulté d'être "largement" gagnant au poker et encore plus sur le long terme.
Beaucoup de bonnes remarque d'ailleurs dans ce post pour aider Franck à cheminer:
- La situation personnelle familiale (avec la nécessité de rentrées régulières qu'elle implique souvent quand on a femme, enfants et loyer)
- la situation professionnelle (est-on bien ou non dans son job, nous fournit-il une garantie de revenus suffisamment appréciable comparativement au plaisir/déplaisir qu'il génère),
- le soutien de son/sa conjoint(e) si l'on est en couple (impensable de se lancer sans que ce soit une décision "appuyée" par Madame à moins de ne guère tenir à son couple)
puis si ces conditions sont réunies:
- le niveau général de son poker
- la bankroll nécessaire pour rendre le projet viable
- sa capacité à s'orienter vers un type de jeu où l'on soit performant et aussi capable de s'y astreindre de longues heures quotidiennes (je trouve intéressant qu'Arnaud précise qu'il est bon en cash mais qu'il joue en MTT par goût; je suis admiratif de Richard/Pragmos à la fois pour ses résultats mais aussi et surtout pour sa rigueur sur le long terme)
- sa capacité à jouer son meilleur jeu avec la pression du résultat, non pas les premiers mois où on est naturellement "préparé" à affronter quelques échecs, mais au fil des mois quand on ne parvient pas malgré tous les efforts consentis à atteindre un niveau de gains suffisant (ce qui correspond pour moi à : se donner une date butoir pour évaluer la viabilité du projet et l'abandonner à temps si ça ne fonctionne pas + une limite de perte financière également au delà de laquelle on n'insistera pas).
Personnellement (même si mon niveau ne me l'a jamais laissé envisager ), même si mon boulot ne m'avait pas apporté de satisfactions particulières, j'aurais été incapable de commencer le mois sans rentrées d'argent garanties. Comment jouer dans ces conditions ? On est sûrement nombreux dans ce cas-là, notamment tous les pères de famille.
Bonne chance à tous ceux qui se lancent ces derniers mois.
Soyez prudents.
N'oubliez pas de venir jouer avec les potes de temps en temps .
Le poker, personnellement, m'a apporté beaucoup de satisfactions à travers les belles rencontres que j'ai pu y faire. Il doit AUSSI rester un jeu, lors de parties conviviales (Puis nous, on est content d'affronter des futures stars).